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DOC YOGINI


​YOGATHERAPIE ET ENDOMETRIOSE 
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A l'heure où les pouvoirs publics et le Président de la République ouvrent enfin un grand plan national pour la prise en charge de l'endométriose il faut rendre hommage à cette démarche ce qui devrait créer un "réflexe endométriose" et éviter des années d'errance  diagnostique et de douleurs.

​De même un test salivaire "endotest"  permettrait de diagnostiquer cette maladie plus rapidement. Il a été mis au point par la start-up française d'intelligence artificielle Ziwig et les experts du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français mais n'est pas encore remboursé par la sécurité sociale. ​ www.has-sante.fr/jcms/p_3487378/fr/diagnostic-complexe-d-endometriose-la-has-propose-un-acces-au-test-salivaire-endotest-dans-le-cadre-du-forfait-innovation

​L'endométriose  ne se réduit pas à une maladie gynécologique et à des greffes extra utérines , même importantes voire compliquées, de la muqueuse utérine. Il existe un vrai déséquilibre des grandes fonctions gynécologiques, endocrinologiques, immunologiques, génétiques mais aussi épigénétiques, puisque tous ces foyers d'endométriose s'accompagnent d'un état inflammatoire généralisé. L'endométriose est plus qu'une "maladie d'organe" mais bien une maladie systémique
Il n'existe pas l'heure actuelle de traitement médical pour l'endométriose. 
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La symptomatologie douloureuse observée est la résultante de 3 phénomènes qui sont l'inflammation au niveau des implants endométriosiques, l'envahissement nerveux responsable d'une hypersensibilité viscérale, et les adhérences responsables d'infertilité. 
Maladie plurifactorielle dans laquelle des facteurs génétiques, hormonaux, immunitaires, et environnementaux peuvent être évoqués.
​La fatigue chronique est un symptôme à ne pas négliger
(cf endofrance)

La yogathérapie est une alternative. 
Elle permet grâce à l'utilisation d'outils de yoga simples de mieux gérer la douleur, le stress, les peurs ,les insomnies , les troubles digestifs mais aussi de travailler sur soi , sur le lâcher prise.
La yogathérapie permet  de mieux se connaitre et d'apprendre à connaitre son cycle, d'être vraiment à l'écoute de ses sensations et besoins ; bref : de devenir actrice de sa santé! 
Il est important de pratiquer selon votre cycle et votre forme physique. La pratique peut être plus intense en première partie de cycle  phase dite folliculaire puis douce ( yin yoga, yin yang yoga, yoga nidra) en deuxième phase de cycle dite lutéale jusqu'à J3.  
En l'absence de cycles soyez  plus à l'écoute de vos sensations, fatigue, douleurs. 

Cela peut être des postures ( asanas ), respirations, techniques de relaxations, de visualisation pour accéder à un mieux être.

​L'important est rester dans le mouvement adapté et de libérer les tensions de la zone pelvienne. 
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L'ennemi numéro 1 est l'inflammation vous l'aurez compris 
Il est donc important de lutter contre cet état inflammatoire chronique grâce à la YogaThérapie qui peut renforcer l'immunité, combinée à la micronutrition et à une alimentation choisie. 
Au cours de mes ateliers et/ ou cours particuliers je rappelle combien l'alimentation reste le pilier numéro 1 de tout changement .J'introduis quelques notions d'aromathérapie et points d'acupression.

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​Je vous réponds aux 5 questions que l'on me pose le plus souvent  :


​COMMENT LE YOGA PEUT GÉRER MES DOULEURS DE SYNDROME PRÉMENTRUEL OU D’ENDOMÉTRIOSE JUSTE AVANT MON CYCLE ? ​
Avant toute chose se rappeler qu’il n'existe pas l'heure actuelle de traitement médical pour l'endométriose et/ l’adénomyose ( endométriose interne à l’utérus).
Les douleurs de SPM sont gérées comme celles de l’endométriose. 
La yogathérapie est une alternative. 
Elle permet grâce à l'utilisation d'outils de yoga simples de mieux gérer la douleur, de mieux se connaitre et d'apprendre à connaitre son cycle, bref : de devenir actrice de sa santé ! 
Il existe de nombreuses postures dites « antalgiques » qui soulagent 
De même des mouvements lents et doux sont recommandés afin de déverrouiller le petit bassin et les ligaments utéro sacrés (ceux qui donnent cette sensation de mal au bas du dos quand on ses règles).
IL EXISTE SOUVENT DES TROUBLES DIGESTIFS ASSOCIÉS : LA YOGATHÉRAPIE NOUS AIDE T’ELLE ?
OUI ! Un syndrome des intestins irritables ou SIBO est souvent associé.
 
Il existe des kryas ou « nettoyages » qui vont sont enseignés et des synchronisations de mouvements avec la respiration qui vous permettent de gérer ces troubles. 
 
Ces asanas et kryas diminuent également l’état inflammatoire chronique qui est un élément majeur dans l’endométriose ​
L’ENDOMÉTRIOSE EST-ELLE UNE MALADIE INFLAMMATOIRE ?
Oui 
L'ennemi numéro 1 est l'inflammation par réponse inadéquate , une surveillance immunitaire altérée et il arrive que cette pathologie soit associée à de la fibromyalgie, lupus, spondylarthrite…( la physiopathologie de cette maladie est encore mal connue).
Il est donc important de lutter contre cet état inflammatoire chronique grâce à la YogaThérapie qui peut renforcer l'immunité, combinée à la micronutrition et à une alimentation choisie. (je vous donne les clés lors de l’atelier) 
Lutter contre l’inflammation dans le SPM permet de diminuer les douleurs. ​
STRESS, TROUBLES DE L’HUMEUR ET INSOMNIE ACCOMPAGNENT SPM ET ENDOMÉTRIOSE : LA YOGATHÉRAPIE EST-ELLE AUSSI UNE ALTERNATIVE ? 
Biensûr ! 
Le yoga dans toutes ses formes (postures, respirations, méditation, prise de recul) aide à lâcher prise, à diminuer les angoisses telles qu’elles soient (que la maladie se propage, de ne pas pouvoir aller travailler, de souffrir, de devoir subir une intervention chirurgicale, d’arrêter la pilule ou de devoir la prendre, de l’infertilité) 
 
La yogathérapie vous donne les clés pour gérer les insomnies et augmente la sécrétion d’un neuromédiateur : la sérotonine. ( qui régule l’humeur, l’anxiété, impliquée dans les troubles du sommeil en cas de déficit car elle régule l’activité veille sommeil, régule les comportements alimentaires et sexuels) ​
L’ADÉNOMYSE EST-ELLE DE L’ENDOMÉTRIOSE ? ( CF ARTICLE «  ENDO FRANCE ASSOCIATION ) 
OUI ET NON ! 
 
L’adénomyose est usuellement définie comme une « endométriose interne à l’utérus ». 
En fait il s’agit d’une anomalie de la zone de jonction entre l’endomètre (muqueuse qui tapisse l’utérus) et le myomètre (muscle de la paroi utérine) qui va laisser les cellules de l’endomètre infiltrer le myomètre. Elle peut être superficielle (épaississement de la zone jusqu’à 12 mm) ou profonde (et douloureuse).
C’est une pathologie fréquente et bénigne au sens médical du terme, c’est à dire qu’elle n’impacte pas le pronostic vital. Néanmoins, certaines formes d’adénomyose peuvent être extrêmement douloureuses et invalidantes au quotidien. 
L’adénomyose peut être :
  • diffuse : on retrouve de nombreux foyers disséminés sur l’ensemble du myomètre
  • focale : un ou quelques foyers localisés sur le myomètre
  • externe : quand l’endométriose pelvienne profonde vient infiltrer le myomètre


 Il existe une corrélation entre l’endométriose pelvienne et l’adénomyose. Mais il n’y a pas de généralités : une femme peut avoir de l’adénomyose sans avoir d’endométriose. Et vice versa.
L’adénomyose concernerait 11 à 13 % de la population féminine. Dans 25 % des cas, les femmes atteintes ont de 36 à 40 ans. Dans 6 à 20 % des cas, adénomyose et endométriose sont associées.

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